Yuko Yuko – Super Crayon
Le Twist Komintern présente :
La fête de la pop Lo-Fi avec :
YUKO YUKO (NL)
+ SUPER CRAYON (Rennes)
5€/3€(tarif membre) / 21h00 / Au Bar Hic
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YUKO YUKO
Chillpop, Lo-Fi, #fun – Pays-Bas
« Yuko Yuko est le projet du seul Elias Elgersma, un garçon à peine âgé de dix-neuf ans et débordant de talent. Originaire du nord du Pays-Bas, le prodige fait figure d’exception dans une région où “la scène musicale est partagée entre rave et heavy metal”. Pour assurer les concerts, il est néanmoins parvenu à enrôler quatre amis pas plus vieux que lui. En plus de sa déjà prolifique discographie en solo, Elias fait partie de nombreux projets en parallèle : The Homesick (avec son copain Jaap van der Velde qui partage sa passion pour les synthétiseurs vintage), Pittbier, Wet Dreams et Chemotional. Il vient aussi de créer son propre label sur internet, Purple Noise Record Club. Cette structure permet à Elias et à ses amis de diffuser leurs musiques et leurs vidéos. Formellement, les chansons de Yuko Yuko font penser à quelques artistes américains dont la lo-fi est hantée par le souvenir de la pop des années 80 (Toro Y Moi, Ariel Pink, Outer Limits Recordings, Raw Thrills) alors qu’Elias préfère définir la sienne comme “graveleuse et obscène mais parfois très douce”. Plus sérieusement, il cite des influences qui semblent peu conciliables : A$AP Ferg, The Velvet Underground, Madonna, Echo And The Bunnymen et la Motown. »
(Xavier Masure, Magic RPM #182)
SUPER CRAYON
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Synthpop, Lo-Fi – Rennes
« Amorcé en 2010, Super Crayon est un projet musical (mais pas que) à durée indéterminée né de la rencontre entre Nicolas et Corentine, alors étudiants à l’École supérieure d’arts de Brest. Dans le cadre d’une œuvre scolaire baptisée Octaèdre Étoilé, le tandem combine plusieurs disciplines, dont la musique, aussi minimaliste soit-elle : “Aucun de nous ne savait réellement composer, mais on a mis nos connaissances en commun.” Trois titres émergent de l’entreprise : l’instrumental Hypercube, la ritournelle optimiste Sunny Sunday et The London Curve, rapporté d’un séjour à… Londres, of course. Tous charrient des influences synthétiques et cinématographiques comme chez Broadcast ou John Maus. “Notre musique est plutôt minimale. On essaie d’écrire des chansons pop et des instrumentaux qu’on compare à de petites bandes originales de films. Les ambiances sont assez nuancées, on passe de morceaux très légers à des compositions plus sombres”, souligne le duo. (…) Corentine et Nicolas s’installent (ensuite) à Rennes où l’aventure suit son cours. »
(Fabien Le Gourrierec, Magic RPM #170)
